Un plaisantin anonyme, réagissant au quart de tour sur Tweeter, a su trouver la parade aux affres de l’élu, qui selon les sondages n’en a plus que le plumage, le ci-devant François Hollande.
“Sans dents, on peut encore manger un Flamby, non?” Appuyé de quelques hashtags, qui en disent long sur son infortune # Trierweiler # Hollande # sansDents, ce cri du coeur traduit l’espoir de ceux qui y croient encore.
Le c.. a toujours mené le monde. On le sait. Mais ce qui fut chez les anciens souverains un art de vivre, avec ses codes et ses chorégraphies, a pris chez le président français une dimension si prosaïque et maladroite – ce scooter dans le Paris de Woody Allen – qu’elle lui a fait perdre de vue les destinées de la France. Du reste, en nourrissait-il même?
On se demande parfois comment ce grand pays a pu accoucher d’un tel amateur. Sûrement par un jeu de renvois, de rendus, d’appartenances et d’affinités diverses qui nous échappe, François a su être là au bon moment. Remplir les vides par des réponses toutes faites, courber l’échine devant les instances cardinales, ce pour mieux se relever et fourbir ses armes, Flamby s’est rendu indispensable. Mais dans son ambitieux trip, il avait oublié qu’on ne gouverne pas la France sans en connaître tous les ressorts.
Une femme le lui rappelle très vulgairement dans un brulôt qui s’affiche au sommet des ventes.
Valérie T. signe un réquisitoire contre l’homme qu’elle aima. Rien de bien neuf, sauf qu’elle le publie au moment où son ex-amant dérupite des sommets de l’Etat. Même ses nouvelles lunettes, censées lui renforcer la vision, ne pourront le réhabiliter aux yeux de l’opinion.
Au suivant!
Le Sioux